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SI MES RESSOURCES INTÉRIEURES M’ÉTAIENT CONTÉES ?

SI MES RESSOURCES INTÉRIEURES M’ÉTAIENT CONTÉES ?

LE POUVOIR DES CONTES THERAPEUTIQUES POUR APAISER SON ENFANT.

Comment utiliser les histoires pour l’aider à grandir et surmonter ses difficultés ?

 

Il était une fois le conte…

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours vécu avec les histoires. Celles que me contaient mes parents, celles que je m’inventais quand j’en avais besoin, celles que je lis aujourd’hui à mes enfants. Le « Il était une fois » du conte m’a toujours fascinée. Je me revois enfant : j’attendais avec impatience ce moment magique de paix et d’abandon où je me blottissais contre ma mère pour écouter celui que j’avais choisi. Tous mes sens se réveillaient. Tandis qu’une partie de moi se concentrait sur le scénario, l’autre s’évadait pour devenir tour à tour princesse, pirate ou je ne sais quel animal. Mon imagination s’envolait, je vivais ce que le héros vivait, ressentais sa peur, sa tristesse, sa colère ou sa joie mais toujours à bonne distance, bien au chaud sous ma couette. À la fin de l’histoire, je me sentais apaisée et ragaillardie. Je suis aujourd’hui maman et mon rituel est devenu celui de mes filles, tel un geste qui relie. Simplement par plaisir ou pour répondre à une demande spécifique, le conte fait partie de notre quotidien.  

La pratique du conte en thérapie : médiateur de sens et révélateur d’être.

Par expérience personnelle et en discutant avec les mamans autour de moi, j’ai fait le constat que de nombreux enfants se rendaient chez des thérapeutes médicaux mais ne disposaient pas forcément d’un endroit cocon, ressourçant, libre de toute attente particulière, où ils pourraient simplement lâcher prise et libérer leur mental, pour faire connaissance avec eux-mêmes. Lorsque je suis devenue naturopathe pour enfants, le conte thérapeutique s’est tout naturellement invité dans ma pratique de relation à l’autre, comme un espace transitionnel. De nombreux professionnels de santé le reconnaissent comme un précieux moyen d’expression et de communication des émotions et des pensées difficilement verbalisables. D’après A. Cardinet, le conte constitue par sa nature même une médiation : « À travers (son) récit, l’enfant se reconnaît et construit un sens à ce qu’il vit ; il peut dédramatiser ce qui devient partagé et partageable, même si ce n’est pas clairement explicite » (ibid., p. 167). Utilisé depuis la nuit des temps dans toutes les cultures, le conte est un puissant outil de transformation pour peu qu’il soit adapté individuellement aux problèmes et à la personnalité de l’enfant. Il lui apprend qu’il est inévitable de se confronter aux difficultés de la vie mais que si on affronte ces épreuves parfois inattendues et souvent injustes, on remporte la victoire. C’est en s’identifiant aux personnages de l’histoire que l’enfant va inconsciemment trouver des réponses à ses problèmes. Le conte l’aidera à grandir car il s’adresse directement à son inconscient en stimulant son imaginaire et en le reliant par là même à ses ressources intérieures.  

Une histoire qui parle d’eux.

En pratique, le conte thérapeutique repose sur la technique métaphorique. Il expose une situation réelle transposée dans un contexte imaginaire tout en gardant la structure de la problématique. Il s’agit de prendre une difficulté que rencontre l’enfant dans son quotidien (la peur du noir, la peur de la mort, l’agressivité ou encore la timidité) et la déplacer ailleurs (autres lieux, autres temps, autres personnages). Comme l’explique Lise Bartoli, psychologue clinicienne et hypnothérapeute « lorsque l’enfant écoute l’histoire, il active déjà deux leviers jugés efficaces pour la transformation : la focalisation (il se concentre sur l’histoire) et la dissociation (il est là, près de vous et en même temps ailleurs, dans le conte. » Le héros, qu’il soit personnage, animal ou objet est, suivant le besoin, synonyme de courage, d’espoir, de confiance, d’amour, de ténacité, de tendresse… Grâce à la symbolique du conte, l’inconscient de l’enfant capte « les résolutions de conflit suggérées par l’histoire ». Tout son intérêt thérapeutique est de mener l’enfant à découvrir qu’il détient en lui les solutions à son problème. Souvent sans qu’il s’en rende compte (ce n’est pas lui mais le héros qui vit l’expérience… ;-), le conte lui donnera des clés qu’il pourra exploiter pour retrouver un équilibre perdu.  

Comment se déroulent les séances en cabinet ?

Formée par Lise Bartoli, j’utilise régulièrement ses outils comme support. L’hypnose pour enfants qu’elle enseigne est douce, « ce n’est pas une hypnose qui endort mais qui réveille ! ». Ce qu’il y a de merveilleux avec les enfants, c’est qu’ils n’ont pas nos blocages d’adultes, nos convictions limitantes, nos tabous. Ils passent de l’instant présent dans mon cabinet à leur monde magique avec une aisance déroutante ! Entre 6 et 12 ans, j’utilise les cartes créatives, les dessins, les figurines. À partir de 13 ans, d’autres cartes adaptées à l’adolescence ou des visualisations qui se rapprochent de celles que j’utilise pour les adultes. Généralement, deux à trois séances suffisent pour cesser un dysfonctionnement comportemental ou émotionnel. Première séance : Elle se déroule en présence du parent accompagnant. Après avoir cerné la demande manifeste de la famille et noté les symptômes qui motivent la consultation, je propose une anamnèse pour comprendre le contexte et l’histoire familiale afin de cibler au mieux la difficulté. Puis vient le moment de créer avec mon petit accompagné un pacte de confiance car sans son accord, point de changement possible ! Nous apprenons à respirer, partons visiter son lieu ressource (son monde magique) où il va rencontrer « sa partie qui sait tout ! » puis nous évoquons les séances suivantes afin qu’il s’y prépare inconsciemment. Deuxième séance : selon la problématique, nous échangeons de manière ludique autour de dessins, de figurines pour compléter une histoire ou d’un conte que l’enfant va créer grâce aux cartes créatives. L’avantage est que l’enfant emporte avec lui des « clés » qu’il réutilise facilement tout seul, confortant le travail mis en place au cabinet. Il devient acteur de son propre changement. Séance suivante : En résonance, c’est à mon tour de créer un conte unique et personnalisé pour l’enfant en relation avec ce que son inconscient a déposé lors des séances précédentes. Mon but est toujours de rechercher la cause première de son déséquilibre.   Les contes thérapeutiques sont particulièrement efficaces dans l’accompagnement des problèmes de concentration, difficultés scolaires et apprentissages, timidité, séparation des parents, peurs, phobies, traumatismes, stress, énurésie, manque d’assurance, peur de la mort, agressivité, colère, douleurs, anxiété... Pour autant, les contes thérapeutiques ne remplacent pas une consultation médicale si le besoin s’en fait sentir. C’est un espace intermédiaire, une histoire où se perdre pour mieux se retrouver. 70 euros. Durée de la séance : 1h00.  Pour prendre rendez-vous, contactez-moi au 0612303744 ou directement en ligne sur https://www.medoucine.com/

EN ROUTE POUR L’ÉCOLE : mes astuces pour une rentrée réussie.

EN ROUTE POUR L’ÉCOLE : mes astuces pour une rentrée réussie.
Ça y est, la cloche a sonné et nos enfants ont repris le chemin de l’école. Le premier jour de classe est un jour riche en émotions pour les enfants mais aussi pour nous les parents ! Retrouvailles avec les copains, première séparation, découverte d’une nouvelle classe, difficulté à laisser notre bout de chou : joie pour certains et gros chagrins pour d’autres. Voici quelques clés Naturo pour une rentrée en douceur.

Changement de rythme pour optimiser son énergie !

Les vacances étaient propices à l’exploration de la nature, à la rêverie, aux « est-ce qu’on peut veiller ce soir ? », aux escapades alimentaires chez Papi et Mamie, à la liberté…oui mais voilà, les vacances c’est fini et retourner sur les bancs de l’école en canalisant son attention des heures durant n’est pas chose facile. Afin d’accompagner au mieux notre enfant dans cette période charnière, il est important que celui-ci retrouve un rythme plus « adapté » à la vie scolaire.

Le matin à la maison.

Le matin détermine le ton du reste de la journée comme une mise en jambe alors autant partir du bon pied ! Et comme ce n’est pas toujours évident de donner de l’entrain, organisez-vous plutôt que d’improviser 😉 Préparez-vous des check-lists, si possible la veille au soir pour que tout le monde se lève dans un temps raisonnable afin de ne pas contrarier l’organisation familiale. Estimez à la louche le temps qu’il faut (réveil en douceur, toilettes, petit déjeuner, débarbouillage, s’habiller, se préparer à partir avec cartable, manteau) et ajouter un peu plus de temps pour les imprévus, cela vous donnera l’heure idéale de réveil. Lever votre enfant un peu plus tôt le matin permettra d’éviter le stress supplémentaire du « dépêche toi, on va être en retard » et le sprint final jusqu’à l’école ; repensez au sketch de Florence Foresti à ce sujet, ça fait rire mais réfléchir !!! Et bien évidemment on bannit les téléphones, télévision et tablettes qui viennent perturber la compréhension de la journée en saturant notre enfant d’informations dès le début de la matinée. De bonne heure et de bonne humeur ! Ayez à l’esprit que la bonne humeur est contagieuse ! Vous êtes le repère, aussi pouvez-vous comme le soir proposer un petit rituel du matin : s’étirer en se disant bonjour, inspirations/expirations pour réveiller le corps en douceur, séance de grimaces devant la glace en se lavant les dents, bref souriez ! Pour certains, le chemin de l’école est synonyme d’aller dans un endroit que l’on n’apprécie pas ou pas encore. Le mot d’ordre : restez positif ! Utilisez ce qui entoure le trajet, à pied, en voiture ou à vélo pour faire diversion et ancrer votre enfant dans le moment présent : trouver des jolies choses ou des choses positives sur le chemin de l’école (un chien qui court joyeusement, une jolie fleur…), écouter des musiques entraînantes, courir pour se défouler, autant de façon d’accompagner des moments délicats avant la séparation. Peur de retourner à l’école Si le premier jour semble s’être déroulé sereinement, les jours qui suivent peuvent être plus difficiles « ah bon, il faut que j’y retourne demain ??? ». Dans cette situation les Fleurs de Bach (qui aident à équilibrer les émotions) sont d’un grand secours – 2 gouttes 4x/jour pour les petits, 4 gouttes 4x/jour pour les plus grands. N°1 : L’incontournable Rescue, Le complexe secours – composé de 5 fleurs. À utiliser dans des moments de crise ou de stress, il apaise les émotions trop fortes, les gros chagrins. Pris à titre préventif, il aide aussi à surmonter les angoisses. N°2 : Walnut (noyer), « le briseur de chaînes » qui aide à passer sereinement et avec confiance cette période de transition. N°3 : Mimulus (mimule) : pour les timides : peur de la maîtresse, peur des copains, difficulté à s’exprimer devant la classe. N°4 : Clématis (clématite) : pour tous les rêveurs dans la lune ! Aide à l’ancrage et la concentration. Si la séparation est difficile le matin, Elisabeth Pantley dans son livre « Elle est où maman ? » liste plusieurs idées : Le bracelet magique : pour donner force et confiance, vous pouvez même le créer avec votre enfant. Un objet transitionnel dans la poche : les doudous, objet de transition par définition sont souvent relégués dans un panier de l’école et les petits perdent leurs repères. Mon aînée emporte souvent sa pierre de confiance qu’elle glisse dans son cartable et qu’elle peut tenir pour se rassurer à tout moment de la journée. Cela peut être un tout autre objet comme une plume, une feuille. On évitera les jouets qui sont souvent interdits en classe. Le dessin sur la main : Je dessine régulièrement sur la paume de main de mes filles (la petite de 4 ans comme la grande de 9 ans) un cœur que je recopie sur la mienne. Il aide à remplir le réservoir d’amour pendant la journée, j’y mets toute mon énergie et beaucoup de bisous, elles peuvent ainsi exercer une pression dessus dès qu’elles se sentent seules ou déstabilisées, chuuuuuut c’est magique !!!!

Après l’école.

Bougez! Votre enfant a canalisé son attention pendant de longues heures et est resté assis à écouter, il a besoin de se défouler car la vie c’est le mouvement ! Une balade au grand air, une partie de foot, du vélo avant de rentrer à la maison permet de décompresser. Je ne rentre pas toujours tôt et il est parfois difficile de se rendre disponible quand on sait tout ce qui nous attend encore en rentrant à la maison - la fameuse deuxième journée - mais il existe tout de même des solutions : petit parcours de pas chassés, de course jusqu’à la maison, rentrer à pied, en trottinette, à bicyclette, bataille de guilis de 10 minutes, trouvez votre sas de décompression entre la vie à l’école et la vie à la maison. Ce qui peut vous sembler inutile et perte de temps au premier abord vous fera gagner au contraire des minutes précieuses au coucher, pour vos enfants comme pour vous, parents. Laissez les enfants s’ennuyer ! La rentrée à peine entamée, la course à l’activité recommence, parce que « mais si, il faut les occuper ». Tant et si bien que certains enfants se retrouvent dès le début de l’année avec un emploi du temps de ministre….. Gardez à l’esprit qu’une journée à l’école les stimule déjà grandement et représente une période de travail intense pour leur cerveau : emploi du temps chargé et serré, relations aux copains, à l’autorité, questionnements, joies et craintes, volume sonore +++, un temps de cantine souvent court et le maître mot : viiiiiite. Nous tentons toujours de fournir des activités de peur que nos enfants se tournent les pouces et comblons (cela part souvent d’une bonne intention) toutes les minutes vacantes. Ralentissez le rythme, cela les aidera à s’apaiser, prendre du temps pour rêver, flâner, recharger leurs batteries et stimuler leur créativité !

Le soir à la maison.

Tout d’abord rappelez-vous qu’un matin sans stress se prépare la veille. Préparez les vêtements de votre enfant le soir, choisissez-les avec lui avant le coucher et ce qui est choisi la veille doit être porté le lendemain. Vérifiez son cartable, signez le carnet de liaison, préparez la table du petit déjeuner. Avancer l’heure du coucher permet de prévoir un temps d’échange avec notre enfant. On ne parle pas ici de quantité mais surtout de qualité et d’écoute empathique active, de petit rituel afin de décharger le trop-plein d’émotions accumulées lors de la journée. Prenez quelques instants pour lui demander comment s’est passé sa journée, quelles ont été les choses qu’il n’a pas aimé puis celles qu’il a adoré (cela permet de finir sur une note positive). Vous pouvez aussi lire une histoire, faire avec lui une courte méditation ou quelques exercices de respiration, un massage aux huiles essentielles. J’affectionne particulièrement les cartes de petit rituel zen. Elles sont classées par catégories et couleur et répondent aux différents problèmes que rencontre l’enfant : tensions nerveuses, physiques, peurs et trop plein d’émotions, manque d’ancrage et de concentration…Elles ont l’avantage d’être jolies, faciles à manipuler et guident les parents pour un rituel d’environ 10 minutes. Mon aînée affectionne particulièrement celle du potager (un petit massage guidé de sa maman, ça n’a pas de prix !). Un sommeil réparateur pour récupérer toutes ses capacités. Dormir c’est bien mais un sommeil réparateur c’est mieux ! On évitera la lumière bleue des écrans et tablettes, la télévision ou encore les jeux vidéos avant de se coucher car ils retardent la production de mélatonine - qui favorise l’endormissement. Vous pouvez aérer la chambre ou diffuser 20 minutes avant le coucher des huiles essentielles apaisantes et relaxantes comme du petit grain bigarade, de la lavande vraie, de l’orange douce, de la mandarine ou encore de la fleur d’oranger. À ce propos, je vous conseille de regarder en famille ce court film d’animation amusant et scientifique qui explique tous les bienfaits du sommeil aux enfants. Les petits adorent et les grands révisent ;-). Cliquez sur le lien ci-dessous : http://animationland.fr/a-quoi-ca-sert-de-dormir-un-film-danimation-genial-pour-expliquer-le-sommeil-aux-enfants/ Mon enfant est anxieux. Changement de rythme, fatigue, besoin de se décharger, peur d’y retourner : le cap de la rentrée peut être vécu comme un passage difficile. Jusqu’à 5 ans point de caprice, qu’on se le dise ! - Les travaux des neurosciences nous le confirment. Vous trouvez suspect que la journée se soit bien passée et qu’il fasse une grosse colère ou crise de larmes à la maison ? Réjouissez-vous, vous êtes bel et bien sa figure d’attachement, le phare qui éclaire sa tempête émotionnelle en d’autres termes ! L’important est de dédramatiser sans minimiser. Écoutez, laissez de côté toutes distractions pendant un moment, soyez pleinement présent et remplissez son réservoir d’amour ;-). Votre enfant s’est contenu pendant toute la journée et il peut enfin ouvrir les vannes car il a confiance en vous, armez-vous de patience et de compréhension. S’il a du mal à s’endormir, voici mes petites recettes préférées : Pour les plus petits : Mettez un peu d’hydrolat ( = eau) de fleur d’oranger ou de camomille romaine dans un vaporisateur et faites quelques pshiiiiit sur son oreiller. À partir de 3 ans, le sirop sans aucun truc chimique Dodo avec mon amie la lune de la marque Ballot-Flurin (propolis, miel de tilleul, pétales de coquelicot, fleur d’oranger, vanille, orange douce…) permettra détente et endormissement en réduisant l’état de nervosité. Pour les plus grands : Le sirop cité ci-dessus fonctionne même pour les adultes, seules changent les posologies. Un massage allie échange, détente physique et morale. À partir de 6 ans, mélangez quelques gouttes (x2) d’huile essentielle de petit grain bigarade ou de néroli (fleur d’oranger) ou de lavande vraie ou – l’odeur peut surprendre mais c’est ma chouchoute – de camomille romaine appelée également camomille noble ( chamaemelum nobile à ne pas confondre avec les autres camomilles) à diluer dans une cuillère à soupe d’huile végétale (calendula, amande douce par exemple) et masser la région du dos, de la face interne des poignets et de la voûte plantaire.

La santé dans l’assiette.

Une rentrée en pleine forme commence dans l’assiette. Des horaires réguliers, un repas pris ensemble dans une ambiance chaleureuse, conviviale et calme, une bonne mastication, c’est la base ! Gardez à l’esprit que le ventre est notre deuxième cerveau et que l’assassin est souvent dans la cuisine ;-). J’y reviendrai dans un prochain article mais vous pouvez d’ores et déjà faire un petit ménage dans vos placards : Au petit déjeuner, évitez les gâteaux sucrés, les céréales industrielles garant du coup de barre de 11h et préférez des boissons végétales, de l’eau ou des jus maisons 😉 Des tartines de pain complet avec de la pâte à tartiner bio ou de la purée d’oléagineux, des fruits frais, bio et de saison et pour les plus gourmands pourquoi pas un œuf ou de l’avocat ??! Osez, testez, vous serez surpris du résultat. Au goûter : des fruits frais, des compotes, des oléagineux, du pain complet avec un carré de chocolat, bannissez l’industriel autant que possible qui excite les enfants et favorise l’hypoglycémie réactionnelle. Une bouteille d’eau dans le cartable! Et oui, notre corps est fait de 70% d’eau alors l’hydratation au long de la journée est de mise ! Souvent les enfants n’y pensent pas, n’ont pas le temps ou vont boire au goulot du robinet….N’hésitez pas à glisser une bouteille d’eau faiblement minéralisée dans leur cartable ou remplissez une gourde en inox le matin pour un goûter zéro déchet. Au dîner, on mange, on parle mais on évite de régler à table les problèmes de la journée! Sachez que les mauvaises digestions amènent des troubles du sommeil et souvent des cauchemars. Évitez les repas trop lourds et trop gras qui mobilisent le système digestif et retarde l’endormissement et oubliez les sodas excitants. Difficile d’entreprendre seul ces changements ? Pour une approche personnalisée, n’hésitez pas à me contacter au 06 12 30 37 44. Bonne rentrée à tous !              

COMMENT AGIR POUR LA PLANÈTE ?

COMMENT AGIR POUR LA PLANÈTE ?

DE PETITES RÉPONSES À UNE GRANDE QUESTION.

 

Le conte du colibri.

Cela se passe dans la forêt amazonienne. Dans cette forêt, on voit des arbres à perte de vue, mais en regardant un peu mieux, on aperçoit un arbre plus grand et plus haut que tous les autres. Cet arbre a des branches qui disent : « Venez à moi, peuple des oiseaux ! Venez à moi, je vous accueille ». Et tout ce petit monde piaille, joue, discute … vit en harmonie. Mais un jour, arrive un grand malheur, l’arbre prend feu, les oiseaux impuissants s’élèvent dans le ciel contemplant leur arbre partir en fumée. À travers la fumée, ils distinguent un petit oiseau qui va à la rivière prendre une goutte d’eau dans son bec et la déposer sur l’arbre. Il retourne à la rivière prendre une goutte d’eau dans son bec et la jette sur l’arbre et retourne encore à la rivière inlassablement, prend une goutte d’eau dans son bec et la dépose sur l’arbre. Et ce petit oiseau, c’est colibri. Vous savez, ce petit oiseau multicolore avec un long bec pour sucer le nectar des fleurs. « Mais colibri, que fais-tu ? Viens ! Cela ne sert à rien, viens rejoins-nous ! » « Je fais ma part, je fais ma part, je fais ma part de travail pour éteindre le feu ! » « Et vous aussi, vous aussi venez faire votre part, faire votre part ! Votre part de travail pour éteindre le feu. » Les oiseaux se regardent, perplexes. Et dans un même élan, ils s’élancent vers la rivière, prennent une goutte d’eau dans leur bec et la dépose sur l’arbre, puis retournent à la rivière prendre une goutte d’eau dans leur bec et la jettent sur l’arbre et retournent encore à la rivière, inlassablement prennent une goutte d’eau dans leur bec et la dépose sur l’arbre. Et ces millions de gouttes d’eau forment une pluie si fine et si dense que le feu finit par s’éteindre. Depuis ce jour, l’arbre reverdit, l’harmonie est revenue en son sein et chacun a gardé en mémoire qu’il doit faire sa part.  

Le constat

Depuis plus de deux siècles, nous puisons sans compter dans les ressources de la planète alors que nous sommes de plus en plus nombreux sur Terre et que nos modes de vie demandent de plus en plus d’énergie et de ressources. Cette situation n’est pas durable ! + d’habitants : environ 7,5 milliards d’habitants sur Terre, peut-être 9 milliards en 2050 ! + de bien achetés et jetés : nous possédons de plus en plus d’objets, nous voulons profiter de tout ce qui est nouveau et ces « nouveaux besoins » ne sont pas sans conséquence. Matières premières, consommation excessive d’énergie, on jette et on remplace sans penser que cela augmente la quantité de déchets que nous produisons…. + d’énergie consommée : nous consommons et nous gaspillons de plus en plus d’énergie pour bouger, fabriquer et transporter ce que nous achetons, améliorer notre confort.  

Les conséquences

Des émissions de gaz à effet de serre et des perturbations climatiques, des ressources qui s’épuisent, un environnement mal en point…        

 

Objectif : changer de cap !

Oui mais comment ? En faisant comme le colibri : en faisant notre part 😉 Ce que l’on peut déjà faire : Diminuer notre consommation d’énergie. Agir sur les transports – les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre. Agir sur les bâtiments pour limiter leur consommation d’énergie pour le chauffage, l’eau chaude, l’éclairage, le fonctionnement des appareils électriques et électroniques Changer un peu nos habitudes de vie pour ne plus gaspiller.  

Qui se lance ?

Tout le monde ! L’état, les villes, les départements, les entreprises, les citoyens, les écoles, les collèges et les lycées. Et ceux qui ne bougent pas ? Parfois changer ses habitudes peut faire peur ou paraître compliqué alors on a tendance…à ne rien faire ! Mais plus on voit que ça marche chez les autres, plus on se lance facilement. La valeur de l’exemple c’est important, chez les jeunes comme chez les plus âgés…. Quand ? Tout de suite ! Le plus gros effort, c’est de se lancer.  

Comment faire ? Des idées pour agir.

1 / Consommer durable. Il est possible de réduire les émissions de gaz à effet de serre en Choisissant des objets de qualité qui ne casseront pas ou ne s’useront pas rapidement ; N’achetant pas plus que ce dont nous avons besoin ; Empruntant à la bibliothèque ou médiathèque des livres, CD et DVD ; Echangeant et partageant les produits qui peuvent l’être comme vêtements, livres...et en donnant ou revendant les objets en bon état dont on a plus besoin ; Jetant où il faut ce qui est usé, inutilisable ou cassé : conteneurs pour les vêtements usagés, déchetteries pour les peintures, les métaux, les appareils électriques ou électroniques. 2 / Jeter moins et mieux. Produire moins de déchets et les trier. Pour y arriver on peut : Dire non aux produits sur emballés ou en portion individuelle ; Eviter les produits jetables comme les assiettes ou gobelets en plastique ou carton par exemple ; Ne pas gaspiller le papier en faisant des impressions recto-verso et mettant un message « stop pub » sur sa boîte aux lettres ; Faire du compost avec les déchets de cuisine (j’y reviendrai dans un prochain post) ; Acheter des produits recyclés ; Faire une liste de courses, surveiller les dates de péremption de ce qu’il y a dans le réfrigérateur, cuisiner les restes pour réduire le gaspillage alimentaire. 3/ Bouger sans gaspiller Bouger avec sa propre énergie : en vélo, en roller, à pied ; En ville, prendre le métro, le bus, le tram ; Faire du co-voiturage si l’on est plusieurs à aller au même endroit ; En train, en voiture, en avion, réduire ses bagages au maximum : moins de poids, c’est moins de carburant. 4/ Des bons réflexes à la maison. Quelques gestes peuvent devenir des réflexes et faire rapidement baisser nos consommations d’énergie et d’eau : Chauffer sans surchauffer ; Modérer sa consommation d’eau chaude : prendre des douches rapides, ne pas utiliser d’eau chaude pour se laver les mains… ; Eteindre son ordinateur, sa télévision, ses consoles de jeux quand on a fini de les utiliser et ne pas les laisser en veille ; Débrancher ses appareils (téléphones, ordinateurs, consoles) quand la charge est terminée sinon ils continuent à consommer de l’électricité. On s’y met ? Pour aller plus loin : https://sites.google.com/site/colibrisdeversailles/dechetswww.mtaterre.fr www.quefairedemesdéchets.fr www.casuffitlegachis.fr www.ademe.fr/particuliers-eco-citoyens   Source : guide de l’ADEME

Révolution en cuisine : le Vitaliseur de Marion.

Révolution en cuisine : le Vitaliseur de Marion.

Aujourd’hui je vous parle de celui qui a transformé ma vie : j’ai nommé le Vitaliseur de Marion. Pourquoi un tel émoi face à un ustensile de cuisine ? Parce qu’il est bien plus que ça : suivez le guide, je vous explique tout !

En tant que naturopathe et maman soucieuse de la santé de mes loulous, je suis toujours à l’affût de ce qui me permet de cuisiner sainement mais aussi facilement. Quand on a des journées à rallonge, il est difficile de passer 2 heures en cuisine chaque soir en rentrant du boulot mais je n’ai pour autant pas envie de me plier à toutes ces pubs marketées qui m’incitent à sortir des barquettes raffinées et transformées que je glisse sur le plateau du micro-ondes. Alors quand j’ai entendu parler du Vitaliseur, ça a piqué au vif ma curiosité mais aussi mon côté « je ne crois que ce que je vois (et ce que je goûte) !

Une alimentation saine, pilier d'une bonne santé.

Vous le savez tous, l’alimentation est un facteur déterminant sur notre santé et sur notre vitalité. « Que l’aliment soit ton médicament » nous disait déjà Hippocrate il y a 2000 ans. Cela tombe bien puisque vous mangez 365 jours par an, alors prêts à prendre soin de vous et retrouver la pêche ? C’est parti !

Une allure de Rolls Royce culinaire et des critiques dithyrambiques.

Né de la rencontre entre la naturopathe et bio-nutritionniste Marion Kaplan et l’ingénieur chimiste André Cocard, son ascension est fulgurante. Destiné à l’origine aux particuliers, il séduit désormais un nombre grandissant de grands chefs cuisiniers healthy : mais alors qu’est–ce qu’on lui trouve au juste ? Pour faire simple, le Vitaliseur ressemble à une couscoussière et reprend par là le principe de la cuisson à la vapeur douce par opposition à la cuisson sous pression qui, dépassant les 100°C, détruit les nutriments des aliments que vous cuisez. Pourquoi préférer le Vitaliseur aux autres modes de cuisson ? Rapide tour d’horizon : Le micro-ondes : Il détruit les électrons indispensables aux réactions métaboliques et aux échanges cellulaires. Il modifie radicalement la structure des aliments au point de rendre certaines protéines toxiques. Le four, la poêle, le barbecue : Ils génèrent des goudrons et hydrocarbures par leurs températures élevées, en provoquant une concentration de graisses animales. L’autocuiseur : La cuisson à l’autocuiseur et toutes les cuissons à la vapeur dure (vapeur sous pression, eau bouillante) rendent les sels minéraux inassimilables, tuent les enzymes et la plupart des vitamines. Oui mais j’ai déjà un panier vapeur me direz-vous ?! Oui mais…Non ! Car mon chouchou a plus d’un tour dans sa cuve : Son aspect : en inox 18/10, le Vitaliseur se compose de 3 parties : Le dôme : L’incurvation du couvercle est essentielle : elle permet à l’eau de condensation de glisser le long des parois au lieu de tomber sur les aliments en les lavant de leur goût et de leurs éléments nutritifs. Un tamis pour une cuisson rapide : Un seul étage de cuisson perforé car un second tamis superposé entraînerait un lavage des aliments. Comme le dit le Professeur Joyeux : « si vous avez un lit superposé et qu’un de vos enfants fait pipi au lit, où le feriez-vous dormir, en haut ou en bas ? ». La dimension, le nombre et l’espacement des perforations ont été calculés avec une extrême précision pour réguler la température en dessous de 95° (la vapeur circule librement et cuit uniformément). Vitamines et minéraux sont conservés tout en épurant graisses, toxines et pesticides de surfaces. Une grande cuve permettant de cuire des grosses tout en limitant la consommation d’eau – à peine la moitié de la cuve. J’ai l’ancien modèle avec la soupière et le moule à cake mais vous pouvez sur le nouveau également acheter des accessoires afin de compartimenter le tamis et réaliser différentes recettes simultanément.

Les promesses tenues du Vitaliseur, 10 bonnes raisons de l’adopter :

Côté pratique Son acier 18/10 est adapté à tout type de chaleur (gaz, électricité, vitrocéramique, induction). Innovant: On peut tout cuire simultanément (bananes, choux-fleurs, poissons) sans que les goûts ne se mélangent ce qui entraîne un gain de temps ! Il est assez grand pour les grosses pièces (volaille ou poisson entiers) en grand modèle. Il raccourcit les temps de cuisson (35 min pour un poulet entier, 3 mn pour un filet de poisson et je peux vous dire qu’un gain de temps, ça ne se refuse pas ! Multi-talents, il cuit, décongèle en douceur, réchauffe, maintient au chaud, fond le chocolat sans cuire ni dessécher. Exit le micro-ondes et les aliments morts… Côté santé Sels minéraux et vitamines sont préservés lors de la cuisson Le Vitaliseur de Marion aide dans le cadre d’une hygiène de vie globale, à mincir sans frustration, grâce à une cuisson sans matière grasse qui préserve le goût des aliments. Débarrassés des graisses nocives, les aliments cuits au Vitaliseur de Marion rendent la digestion plus facile. Le Vitaliseur de Marion fait « transpirer » aux aliments leurs graisses et acides saturés nocifs pour le cœur, les artères et le taux de cholestérol. Le Vitaliseur de Marion permet de cuire tout un repas en un temps record et facilement!

Mon expérience personnelle

L’essayer, c’est l’adopter et ne plus le lâcher ! (Il part même en vacances avec toute la famille !!). C’est vrai il n’est pas donné – compter 159 euros pour le Petit Robinson (petit modèle) et environ 272 euros pour le modèle grand chef sans la soupière ni le moule à cake – mais c’est un investissement qui vaut le coup car il fait tout ! Préparation simultanée d’aliments distincts sans que les saveurs ne se mélangent ; Vous pouvez tout cuisiner : légumes, poissons, gâteaux, compotes, soupes, céréales, flans, bouillons, pains, oeufs ; Les légumes ont une saveur incomparable, les viandes sont cuites à cœur (même la viande rouge !! ce dont je doutais avant de tester) ; Les temps de cuisson sont largement diminués par rapport à un autre mode de cuisson : 20 minutes pour des pommes de terre entières, 4 minutes pour les haricots verts, 15 minutes pour un dos de cabillaud, 2 minutes pour des coquilles saint jacques, 35 minutes pour un poulet entier, 4 à 6 minutes pour de côtelettes d’agneau, 3 min pour un œuf à la coque, 2 pour des œufs cocottes….et la liste est non exhaustive. Pas besoin d’électro ménager supplémentaire : il cuit certes mais il sait aussi réchauffer sans dessécher (en quelques minutes seulement), décongeler, tenir au chaud et même servir de bain-marie (un chocolat fondu au top pour les amateurs ;-)). Et le must pour moi, c’est que je n’ai pas besoin de rester devant en surveillant la cuisson, je peux vaquer à mes occupations car les aliments ne brûlent pas, n’étant pas en contact direct avec la chaleur du fait de sa grande cuve. Vous l’aurez compris, il est mon allié du quotidien…. Un autre avantage : si vous êtes en panne d’inspiration, vous découvrirez pleins de recettes équilibrées et pleines de goût grâce au site 95degrés, au magasine du même nom ou sur la page facebook du Vitaliseur.   Envie d’essayer ? N’hésitez pas à me contacter par mail – marjoriecaudal.naturo@gmail.com - ou par le formulaire de contact de mon site, je vous ferai parvenir un code de réduction.   Belle journée à tous et bonne dégustation !!

Le microbiote des bébés

Le microbiote des bébés

Le microbiote des bébés : une maison d’hôtes indispensable à une bonne santé !

La flore intestinale, un enjeu qui se joue dès la naissance. La flore intestinale ou microbiote, c’est un peu la star de nos entrailles. Longtemps ignorée, elle est aujourd’hui la vedette des revues scientifiques aux plateaux télé : tout le monde en parle ! Mais alors késako au juste ??? Notre intestin est le champion des chambres d'hôtes puisqu'il accueille 100 000 milliards de bactéries ( plus que les petites cellules qui composent notre corps !!) constituant ce que l'on nomme la flore intestinale. Tout ce petit monde - plus de 500 familles tout de même - cohabite plus ou moins en harmonie tout au long du tube digestif, avec une densité de population croissante au fur et à mesure que l’on descend dans l’intestin. Bonnes ou mauvaises bactéries, là n’est pas la question, l'important étant de favoriser un bon équilibre et une bonne gestion de cette maison d'hôtes pour le maintien d'une santé optimale ! Mais à quoi elles nous servent au juste ces bêbêtes ??? Voyez cela comme un échange de bons procédés : vous leur fournissez un petit nid douillet, elles s’occupent du reste! Pas mal non? Les scientifiques n’y voyaient au début qu’un simple outil à la digestion de nos aliments : pensée limitante ! Aujourd’hui on murmure qu’elles seraient notre deuxième cerveau et qu’elles auraient même une influence sur notre comportement, rien que ça! Véritables petites abeilles ouvrières au service de la reine, elles nous aident à transformer nos aliments en nutriments et énergie, elles neutralisent les germes qui pourraient nous nuire et jouent un rôle capital dans le réglage des allergies et intolérances alimentaires donc pour notre système immunitaire, notre ligne de défense contre les agresseurs extérieurs.   Mais au fait, comment se font les présentations? Dans le ventre, le foetus n’a pas besoin de flore puisqu’il profite de tous les nutriments que sa maman lui apporte par le placenta. À la naissance, le tube digestif du bébé se colonise et perd sa stérilité. Lors de l’accouchement par voie naturelle, le bébé passe par le vagin, proche de l’anus : sa bouche est alors mise en contact avec la flore vaginale et fécale de sa maman. C’est donc en absorbant un peu de ses sécrétions qu’il crée sa propre flore intestinale. Quand on est petit, on a du mal à se défendre et notre système immunitaire est immature. Petit à petit, notamment avec l’allaitement et le premier lait maternel appelé colostrum, bébé favorise une flore équilibrée qui lui permettra de se défendre de mieux en mieux contre de possibles infections. Et chez les bébés nés par césarienne? CQFD, ils n’ont eu aucun contact avec la flore de leur mère. Pas de panique il existe des solutions : la première - essentielle et chère aux naturopathes - étant que les mamans régénèrent leur flore et ensemencent leur tube digestif de bonnes bactéries en amont de la naissance, au moyen d’une bonne hygiène de vie et de probiotiques notamment. Les choses bougent aussi à l’hôpital. Des médecins et chercheurs participent à des études visant à renforcer le microbiote des bébés nés par césarienne en compensant le déséquilibre de richesse de la flore intestinale. Je vous invite d’ailleurs à découvrir les moyens mis en oeuvre par le visionnage d’un reportage d’allô docteurs : Vous l’aurez compris, l’immunité commence dans l’intestin! Un déséquilibre de la flore intestinale - alimentation inadaptée, stress, prise répétées de médicaments... - peut provoquer des perturbations à tous les étages : perturbations du système digestif, affaiblissement des défenses immunitaires, problèmes cutanés, réponses allergiques exacerbées (eczéma, asthme, rhume des foins) et cela ne s’arrête pas là puisque les recherches commencent à mettre en lien microbiote et autisme (cf. entre autre le livre le syndrome entéropsychologique de Natasha Campbell) , alzheimer, maladie coeliaque.... cela vaut le coup de s’en pré - occuper! Bonne nouvelle, votre naturopathe peut vous accompagner.

Morale de l’histoire : pour une vie heureuse et un bébé en pleine santé, vos intestins Mesdames il faudra chouchouter!!

Marjorie Caudal - Naturopathe adultes & enfants - 2 rue Royale 78000 Versailles - marjoriecaudal.naturo@gmail.com - 0612303744 - sur rendez-vous.    

La Naturopathie ou l’Art de cultiver son jardin…

La Naturopathie ou l’Art de cultiver son jardin…

LA NATUROPATHIE : UNE APPROCHE GLOBALE POUR UNE SANTÉ OPTIMALE !

Vous êtes conscients de la nécessité de prendre en main votre santé mais ne savez pas par où commencer? Bonne nouvelle, la naturopathie peut vous y aider et même vous tenir la main avant de la lâcher quand vous serez prêts ! Créée par Hippocrate, elle est la troisième médecine traditionnelle mondiale selon l’OMS, ce qui n'est rien tout de même, vous conviendrez qu'elle n'est pas née de la dernière pluie ;-)) Son but ? Vous apprendre à gérer correctement vos habitudes de vie pour atteindre un équilibre de santé idéal. Mon rôle de Naturo dans tout ça ? Vous guider, en tant qu'éducateur de santé afin : D’être à l’écoute de votre corps et de son fonctionnement (vous restez votre meilleur médecin intérieur) ; D’apprendre à mieux vous connaître en identifiant les atouts et faiblesses de votre organisme ; De gérer harmonieusement vos émotions et vos pensées : « On ne peut pas empêcher la tempête mais on peut apprendre à surfer sur les vagues » ; De pallier les petits maux du quotidien, de retrouver le bien-être et l’équilibre ou en complément de la médecine allopathique pour les pathologies plus lourdes ; De changer en douceur, sans frustration ni culpabilité en vous aidant à lever les barrages ; De devenir l’acteur autonome de votre santé en comprenant comment gérer durablement cette nouvelle façon de vivre. Alors la naturopathie c'est pour qui ??? Pour tous et sans restriction ! Hommes, femmes, enfants, bébés, dans une période difficile ou simplement pour conserver votre vitalité!

L’ART DE CULTIVER SON JARDIN.

« Agir sur les causes, prévenir les conséquences. » La santé est la condition de vie normale des êtres vivants, nous avons tendance à l'oublier. La plupart des pathologies sont l’accumulation d’une période d’erreurs, d’une mauvaise utilisation de son potentiel vital. Nous sommes tous différents et n’avons pas le même fonctionnement biologique. Face à ces comportements, réactions et pathologies distincts, le naturopathe va réfléchir en terme de « terrain » : un sol fertile est un sol vivant, riche, avec une structure et une profondeur permettant aux plantes de se développer pour s’ancrer. Sa composition doit permettre un bon approvisionnement en éléments nutritifs, eau et oligo-éléments. Point de bonne production sans une bonne terre. Il en va de même chez vous, cerner votre terrain équivaut à comprendre le fonctionnement de votre corps afin d'anticiper les dérives en prévoyant un plan personnalisé pour une santé durable.
Voici comment je vais m'y prendre en vous demandant aussi de mettre un peu la main à la pâte : et oui, c'est un boulot d'équipe!! Rechercher la cause originelle de vos troubles en respectant votre projet et vos capacités. Favoriser une approche holistique : l’Homme est un tout. Trop souvent un focus est fait sur l'organe qui provoque les symptômes mais dans la vraie vie vous êtes entier non? Une tête suivie du corps ! Alors on s'occupe de tout ce petit monde à la fois ;-)) oui oui, quand il y en a pour un , il y en a pour deux! Stimuler vos forces d’auto-guérison : votre corps est intelligent et cherche avant tout à rétablir son équilibre (vous faites de la fièvre quand vous avez une infection, vous frissonnez lorsqu'il fait froid dehors, vous transpirez lorsqu'il fait trop chaud, vomissez lorsque le repas était...douteux, etc...); Équilibrer vos carences et vos surcharges en utilisant des techniques naturelles et complémentaires : alimentation, relation d’aide, relaxation, respiration, hydrologie, aromatologie, phytologie, techniques réflexes... Travailler conjointement avec votre médecin pour de meilleurs résultats : le tout est supérieur à la somme des parties ;-).

MA VISITE CHEZ LE NATUROPATHE ÇA SE PASSE COMMENT ?

" Quand quelqu'un vient vous consulter et désire recouvrir la santé, demandez-lui si il est prêt à changer quelque chose, alors seulement vous pourrez l'aider ! " : une devise qui se vérifie à chaque fois. Première consultation adulte : environ 2h / 1h à 1h30 pour celles de suivi. Bébé ou enfant : entre 1h et 2h00 selon l’âge. Je réalise votre bilan de vitalité ayant pour objectif d’appréhender votre énergie vitale. Il est basé sur : Un dialogue approfondi sur votre mode de vie : histoire personnelle, bagage héréditaire, habitudes comportementales, croyances (ah les bons vieux conseils de nos aînés et de nos proches, les petites étiquettes qu'on trimbale depuis l'enfance ont la dent dure;-), contraintes extérieures, alimentation, exercices physiques..., le tour du propriétaire en somme!!
Un bilan morpho-psychologique : étude des formes et proportions du corps, visage et mains. Ces indices m'aident à déterminer votre profil naturopathique. Un bilan iridologique : observation détaillée de l’iris de l’œil permettant d’estimer surcharges et carences, terrain génétique, état fonctionnel du système nerveux, vasculaire... rien de prédictif dans tout cela, l'oeil n'est pas une boule de cristal mais il est un très bon reflet de l'état général de votre organisme. La prise de pouls chinois, indicateur supplémentaire de votre énergie. Les conclusions du bilan débouchent sur un plan d’hygiène vitale personnalisé comprenant un réglage alimentaire, des techniques de gestion du stress, des exercices adaptés afin de normaliser votre terrain. Faites que votre corps redevienne votre meilleur ami... ! Et si vous essayiez pour voir???!! ;-)))

PSSST : LA NATUROPATHIE VOUS PERMETTRA :

  • D’adopter une alimentation adaptée à votre physiologie, de mieux digérer ;
  • De gérer positivement vos émotions et votre stress ;
  • De combattre la fatigue et retrouver un sommeil de qualité ;
  • De garder ou retrouver la ligne ;
  • De renforcer votre système immunitaire ;
  • D’équilibrer votre terrain pour réduire les risques d’allergies diverses, infections à répétition, migraines, asthme, troubles hormonaux, eczéma... ;
  • D’accompagner chaque étape de votre vie : pré-conception, grossesse, interruption de grossesse, naissance, enfance, adolescence, cycle féminin, ménopause et andropause ;
  • D’aborder les changements avec sérénité : passage à l’école, préparation aux examens, changement de travail, retraite... ;
  • D’accompagner un traitement médical déjà établi*.
* Le naturopathe n’est pas un médecin, il ne pose pas de diagnostic, ne traite pas les maladies, ne prescrit pas de médicaments et ne modifie jamais le traitement de votre médecin.Un rendez-vous avec un naturopathe ne dispense pas d’une consultation avec un docteur en médecine. Ses conseils en hygiène de vie ainsi que les compléments alimentaires qui peuvent être proposés ne visent pas à traiter des maladies et ne peuvent faire l’objet d’un remboursement de la Sécurité Sociale. BELLE JOURNÉE À TOUS ! Et à très vite...

Bonjour tout le monde !

Bonjour tout le monde !
Bienvenue chez moi ! Ce blog est fait pour vous informer, échanger, papoter, discuter....pour toi, elle, lui, eux, nous !! Venez et embarquez ;-))